Je quitte Salerno. Les larmes me viennent sans que je les attende. Il est 8h, la ville s’éveille doucement. Les matinaux prennent déjà leur café en terrasse. J’aurai aimé m’asseoir à l’une de ces petites tables qui guettent le soleil levant. Ou mieux, j’aurai aimé demander au bar un café espresso et un croissant fourré à la marmelatta. J’aurai voulu que le patron m’appelle par mon nom et me demande…
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