Le début de l’histoire…
Voilà, j’ai craqué. A force de rêver sur les prises de vue aériennes qui fleurissent sur Instagram, et après en avoir longuement discuté avec un photographe professionnel, j’ai cédé à ce petit caprice et j’ai fait l’acquisition d’un drone, tout petit, tout mignon. Un Dji Mavic Air, un vrai bijou de technologie aussi petit que mon Smartphone Samsung, et ultra-portable. Bref, très pratique pour m’accompagner dans mes voyages et avoir des points de vue nouveaux!
Au fait voilà à quoi ressemble le Dji Mavic Air. Si tu craques aussi, je te conseille vivement d’acheter le Fly Combo, je ne l’ai pas regretté une minute!
J’avais déjà hésité à m’acheter un drone avant de partir à Bali, je m’étais raisonné (tu la connais, cette voix dans ta tête: « mais non, ça ne va pas te servir et de toute façon tu ne sauras pas le piloter, et puis ça coûte cher »…). Mais après un court séjour en Allemagne, au cours duquel j’ai pu voir le modèle en exercice, avec une stabilité incroyable malgré les bourrasques, j’ai craqué.
C’était juste avant de partir en vacances au Maroc et j’avoue avoir pensé que c’était une bonne idée pour prendre de beaux panoramas ainsi que des dronies-surprise au mariage de mon amie (raison principale de ce voyage). Sauf qu’une fois sortie de la Fnac, drone en poche, et à 2 jours seulement du départ, je me suis rendu compte que voyager avec un drone était loin, très loin d’être facile.
C’était en Juillet 2019, et trois mois plus tard il me semble intéressant de partager ces expériences pour tous ceux qui auraient la même idée folle que moi et souhaiteraient amener leur nouveau jouet partout avec eux 🙂
N’hésite pas à consulter tous mes conseils pour droner à l’étranger et profiter de ton drone en voyage sur l’article dédié: Voyager avec un drone: ce qu’il faut savoir pour droner à l’étranger.